Aller à contenu Menu Démarches en ligne Prise de rendez-vous Signaler une anomalie Titres d'identité Elections / citoyenneté Ecoles / Centres de loisirs Petite enfance Handicap / perte d’autonomie Conseil de quartier / e-participation Marchés publics / appels à projets Toutes mes démarches Le principe est simple : chaque matin, des parents, à tour de rôle, accompagnent un groupe d'enfants vers leur école selon un itinéraire rapide et sécurisé qui comporte plusieurs arrêts. Soucieuse de mettre en place ou d'accompagner des initiatives qui contribuent à la protection de l'environnement, la Ville de Niort facilite l'ouverture de lignes Pédibus et met notamment à la disposition des parents les outils utiles au montage d'un projet. Les parents d'élèves intéressés par ce service sont invités à contacter chaque année les représentants de parents d'élèves pour savoir si une ligne Pédibus est ouverte dans leur école. Le porteur du projet Pédibus, c'est-à-dire l'école ou l'association des parents d'élèves, est obligatoirement assuré pour les activités qu'il organise. Nous conseillons vivement à chaque porteur de projet de se rapprocher de sa compagnie d'assurance pour vérifier que les accidents survenant sur le trajet du Pédibus soient bien pris en compte dans le contrat. La Ville de Niort intervient en conseil et en soutien logistique dans la mise en place des lignes Pédibus. Elle met à disposition des supports de communication pour aider les parents à promouvoir leur projets, évalue la sécurité des itinéraires envisagés, assure la pose de la signalétique et étudie les aménagements de voirie à réaliser. Pas à pas : le montage d'un projet Pédibus 1) constituer un groupe de travail rassemblant parents, associations de parents et enseignants. Ensemble, ils lanceront le projet Pédibus pour leur école, puis l'animeront tout au long de l'année scolaire (sensibilisation des parents, identification des itinéraires, constitution des équipes de conducteurs et organisation des plannings). 2) sensibiliser tous les parents en organisant une réunion d'information pour présenter la démarche. Cette sensibilisation permettra de renforcer l'équipe projet, de commencer à recruter des futurs conducteurs de lignes, de rassurer les parents et définir les rôles de chacun. 3) réaliser un diagnostic pour recenser les enfants susceptibles d'emprunter le Pédibus, recruter les parents accompagnateurs et proposer des trajets. Pour cela, il faut lancer une enquête en diffusant un questionnaire. 4) déterminer les lignes Pédibus, leurs points d'arrêt et horaires, en fonction des réponses au questionnaire. Les propositions d'itinéraires sont étudiées par les services de la Ville qui vérifient la sécurité du parcours, étudient les aménagements de voirie à réaliser et posent la signalétique Pédibus à chaque arrêt. 5) mobiliser et former les accompagnateurs. Une formation peut être proposée par Prévention MAIF pour les écoles publiques et la direction des services départementaux de l'éducation nationale sur le thème de la sécurité. Le groupe de travail doit établir un planning des accompagnateurs par ligne avec leurs coordonnées téléphoniques. Une ligne peut fonctionner avec au moins 8 accompagnateurs (2 parents mobilisés chaque matin). 6) se lancer, c'est au préalable recueillir l'adhésion des familles intéressées et l'engagement de tous les acteurs. Il faudra faire remplir aux familles un bulletin d'adhésion au projet et signer une charte (famille, enfant et accompagnateur). 7) tester le dispositif pendant une semaine pour évaluer les premières impressions des enfants, des parents et des accompagnateurs et ajuster le cas échéant le projet. 8) finaliser et pérenniser le projet en transformant la période d'essai en mode de fonctionnement quotidien. Il faudra solliciter les services de la ville pour la pose de panneaux aux arrêts et bien sûr communiquer le plus possible sur le Pédibus tout au long de l'année, en diverses occasions comme les conseils et fêtes d'écoles. Documents utiles Ces documents ont été réalisés collectivement par des enseignants, des parents et la Ville de Niort. Questionnaire pour l'expérimentation Questionnaire simplifié de renouvellement Bulletin d'adhésion des familles Charte des parents Charte des accompagnateurs Charte des enfants Une meilleure conscience de l'environnement de la rue Aller tous les jours à l'école à pied permet aux enfants d'apprendre à être de "bons" piétons en mettant en pratique les règles de sécurité. Une solidarité au sein du quartier Les parents font connaissance et confient leurs enfants à d'autres parents du quartier le temps du trajet jusqu'à l'école. Les enfants tissent des liens privilégiés avec les enfants de leur ligne Pédibus et ont une meilleure connaissance de leur quartier. Un relais entre parents Si huit parents s'organisent pour accompagner les enfants chacun une fois par semaine, alors les parents peuvent commencer plus tôt leur journée de travail trois matins par semaine. Les bienfaits de la marche La marche à pied est un excellent exercice pour les petits et les grands. En France, l'obésité concerne 12,6% de la population et le nombre d'enfants de 10 ans souffrant de ce problème a doublé depuis 1980. Moins de pollution à proximité des groupes scolaires, moins de bruit En moyenne le trajet domicile-école représente 750 mètres. Les voitures utilisées pour ces petits trajets parcourent chaque jour près de 500 000 km en Poitou-Charentes ce qui représente plus de 35 000 tonnes de CO² par an. En adoptant le Pédibus, les enfants deviennent les acteurs de l'environnement et les adeptes de demain des modes doux de déplacements. Moins de trafic aux abords des écoles, moins de stationnement anarchique. En France, de nombreux enfants du cycle primaire sont quotidiennement conduits à l'école en voiture. Le recours à l'automobile pour ces déplacements quotidiens peut atteindre 80% selon les villes et les types d'établissements scolaires. Contact : Education Adresse : Ville de Niort Hôtel Administratif Place Martin Bastard CS 58755 79027 Niort Téléphone 05.49.78.73.06 Courriel Tous nos sites Site précédent Site suivant Niort Agglo Niort dedans/dehors Médiathèques Tanlib #Niort Sup' Piscines Regards Noirs Patinoire Conservatoire Musées Niort Tech Office tourisme Mairie de Niort Adresse: Place Martin Bastard, CS 58755-79027 79000 Niort Téléphone 05 49 78 79 80 Nous contacter Cadre de vie Mairie Services publics Actualités Données publiques Suivez-nous Notre Facebook Notre Youtube Notre Instagram Notre Linkedin Newsletter JE M'inscris ✿✿✿ Ville fleurie Nous écrire / nous contacter Mentions légales Accessibilité : non conforme
Le 9 septembre à 11h ouvre H&M la nouvelle enseigne commerciale tant attendue en centre-ville. Le 9 septembre à 11h, l'enseigne H&M ouvre rue Victor-Hugo, à l'emplacement de l'ancien passage Hugo. Elle occupe une surface commerciale de 1800 m² en plein coeur de ville, actuellement en pleine mutation avec le soutien de la municipalité. "La Ville investit pour ses habitants et pour le centre-ville. Et la bonne nouvelle est qu'elle n'est pas la seule à le faire, comme la société 2I M A, promoteur de l'enseigne H&M à Niort." annonce Jérôme Baloge."Je me réjouis de l'arrivée de cette locomotive commerciale qui va dans le sens de l'histoire de Niort. La Ville a une volonté forte de reconquête du centre-ville pour en faire un vrai poumon à l'échelle de Niort et de son agglomération, à la fois un lieu de sociabilité et de commerce." Elle favorise le développement du coeur de ville pour inciter les investisseurs à s'intéresser à Niort et y développer le commerce et l'habitat. Elle-même a mis en place de multiples actions pour valoriser l'environnement architectural, requalifier les espaces publics et contribuer à étendre l'attractivité du centre-ville sur d'autres pôles comme Boinot, le quartier de la gare ou la place Denfert Rochereau et le centre Du Guesclin. Elle agit aussi sur d'autres facteurs attractifs comme les conditions de stationnement en hyper-centre. La Ville garantit ce cadre favorable pour le développement du commerce. Raphaël Abitbol, promoteur, est fier de cette réalisation qui lie modernité et qualité architecturale des lieux. Il se félicite que "la mairie investisse autant pour son centre-ville". Laurent Cohen, responsable Expansion de l'enseigne ajoute que "le centre-ville de Niort est beau et donne envie de s'y installer. On espère que notre venue donnera envie à d'autres de venir". Plusieurs pistes se présentent, mais nous pouvons déjà annoncer officiellement l'arrivée de la chaîne Bio c' Bon en septembre à l'emplacement de l'ancien magasin Burton. Le 193e magasin H&M en France sera niortais Le promoteur 2I M A s'est engagé à mettre en valeur les qualités architecturales du bâtiment qui a lui seul présente un intérêt nouveau pour le centre-ville. L'investisseur possède d'autres immeubles dans la rue Victor-Hugo, occupés par Internity, Tape à l'oeil et ex André. Il entend les réhabiliter pour ouvrir d'autres commerces et aménager des logements aux étages. Comme dans tous ses projets, 2I M A travaille avec des architectes (à Niort, Hervé Beaudouin pour le magasin H&M) et des entreprises locales. L'enseigne H&M a choisi le centre-ville de Niort après Nice pour installer sa 193e enseignes en France. L'ouverture du magasin va nécessiter le recrutement d'une équipe de 20 personnes par l'intermédiaire de Pôle emploi. Son ouverture sera un évènement, on peut espérer, comme à Evreux il y a deux ans, qui avait accueilli dès le premier jour 8000 personnes.
Claude Guignard, président fondateur du Carrefour des métiers de bouche, invite les jeunes à saisir les opportunités offertes par les filières des métiers de bouche. Entretien. Claude Guignard, président fondateur du Carrefour des métiers de bouche, invite les jeunes à saisir les opportunités offertes par les filières des métiers de bouche. Entretien. Les manifestations dédiées aux métiers de bouche et à la gastronomie ne manquent pas. En quoi la vôtre se démarque-t-elle ? Claude Guignard : D’abord par le fait que nous sommes le seul, en France, ouvert gratuitement aux professionnels et au grand public. Nous sommes également le seul organisé par des bénévoles des fédérations des métiers de bouche. Notre association ne compte aucun salarié. Dès la création en 1991, le but était de favoriser l’intérêt des jeunes pour nos métiers et les orienter sur les formations. Pour cela il fallait que le salon soit gratuit. Je dois dire que la mission est réussie, car à la suite de chaque Carrefour, nous enregistrons en moyenne 10 % de jeunes en plus en apprentissage. Vos métiers ont-ils toujours du mal à recruter des jeunes ? Claude Guignard : Beaucoup et particulièrement cette année. La restauration est relativement épargnée, mais la boulangerie, la boucherie, la charcuterie sont très impactées. Le Carrefour est précisément là pour démontrer combien ces métiers peuvent être attrayants. Nous nous efforçons de créer un climat favorable à la rencontre et à la discussion entre les jeunes et les professionnels. Il est plus agréable et moins stressant pour un gamin de 14 ans de discuter avec un professionnel sur le salon plutôt que frapper à sa porte pour lui demander s’il veut bien le prendre en apprentissage. Pourquoi les jeunes rechignent-ils à aller vers ces métiers et vers l’apprentissage ? Claude Guignard : Il y a eu des erreurs historiques de l’Éducation nationale qui n’a pas compris le poids de l’apprentissage et s’est ingéniée à orienter les enfants vers l’école traditionnelle, à les envoyer systématiquement à la fac après le bac, par exemple. Sauf que, même très doués, il y a des gens qui ne sont pas faits pour cela, ou qui n’ont pas forcément envie de poursuivre leurs études. On paie aujourd’hui cette mauvaise politique d’un passé encore récent. La Carrefour, à son niveau, vient revaloriser l’apprentissage et, argument de poids, démontre que nos métiers recrutent. Les salaires sont plutôt bons maintenant, les contrats plus intéressants, on bénéficie des assurances et des complémentaires comme tout le monde. Ce qui n’est pas négligeable dans le contexte actuel. C’est quoi un visiteur heureux, pour vous ? Claude Guignard : C’est quelqu’un qui, en sortant, va prêcher la bonne parole, qui parle de nos métiers en bien autour de lui et qui ressort avec la banane. Comme un restaurateur qui voit partir ses clients avec un grand sourire de satisfaction. La deuxième réussite, c’est que le Carrefour créé une émulation auprès des jeunes, qu’il leur ouvre des perspectives d’avenir, même à ceux n’avaient peut-être pas imaginé faire carrière dans nos métiers. Propos recueillis par Jean-Philippe Béquet (Le 12 octobre 2014)
Le jeune volleyeur Anatole Chaboissant était de passage à Niort avec sa nouvelle équipe du Paris Volley. Ses parents, Jacques et Béatrice, experts du jeu, accompagnent son parcours hors du commun. Deux équipes du championnat de France de volley- ball masculin (la MSL ou Marmara SpikeLigue pour les intimes) s’étaient donné dernièrement rendez-vous dans la salle Henri-Barbusse pour peaufiner leur avant-saison. L’Alterna Stade Poitevin affrontait le Paris Volley, tout nouveau club de l’enfant du pays, le passeur Anatole Chaboissant. « Depuis mon départ de Sainte-Pezenne, je n’étais jamais revenu jouer ici. Ça me fait un truc particulier » , annonce-t-il, relax et concentré. À l’issue de deux oppositions intenses, au cours desquelles Anatole a distillé passes soyeuses et conseils avisés aux partenaires qu’il découvre, les Parisiens ont vite repris la route de la capitale. « On s’attendait à deux gros matchs, on les a eus et on a gagné. » Derrière la bonhomie, la hargne du compétiteur n’est pas loin. Dans le ventre de maman Depuis le titre de champion de France des moins de 15 ans avec Sainte-Pezenne en 2018, Anatole a suivi le chemin d’un surdoué et connu une ascension verticale. Après le pôle Espoir au Creps de Montpellier, les diverses sélections en équipe de France de sa catégorie, il a signé un premier contrat pro à Nantes Rezé en 2022, où son talent a éclaboussé. La saison passée, il a été nommé meilleur jeune de la Ligue A (le top). « Mais j’étais entré dans une zone de confort. J’avais besoin d’un nouveau challenge. » Et c’est donc en qualité de capitaine, du haut de ses 21 ans, que le club parisien a décidé de recruter « le passeur aux mains en or ». « Tout le monde aime Anatole, souligne Jacques, son père, figure du volley niortais. Il est positif, attentif. Avec sa maman, on l’a préparé à ce rôle de leader, de relais avec le coach. » Béatrice Chaboissant-Trésor, ex-joueuse de haut niveau, n’est pas plus surprise par le parcours flamboyant de son petit de 1,88 m. « Anatole est capitaine car il instaure une sérénité. Et c’est un super passeur qui voit le jeu et transmet les informations justes. » Des qualités techniques et de stratège hors du commun, qu’il a sans doute puisées aux sources même de la vie. « Anatole a commencé le volley avant d’être né puisque Béatrice, passeuse elle aussi, jouait alors qu’elle était enceinte de lui, sourit Jacques. Avec sa soeur Calypso (membre de l’équipe Élite du VBPN), ils ont réellement grandi dans cette salle. » Cet été, le volley français a brillé à tous les niveaux internationaux. Une périostite a tenu Anatole éloigné des terrains et des trophées. « Je n’étais pas du tout frustré mais au contraire très content pour mes copains. Voilà longtemps que ma génération n’avait pas gagné quelque chose au niveau international », assure le champion positif. Au-delà de la reprise du championnat du Paris Volley, le 28 septembre, on se projette pour Anatole vers des rêves de gloire en Bleu.
Le championnat de Ligue 2 reprend au cœur de l’été. Les Chamois niortais version 2015-2016 affichent de nouvelles ambitions. Le championnat de Ligue 2 reprend au cœur de l’été. Les Chamois niortais version 2015-2016 affichent de nouvelles ambitions. Le 31 juillet, les Chamois entament leur quatrième saison de Ligue 2 de suite. Il leur faudra être chauds dès cet été, pour bien négocier le début d’exercice et partir sur des bases élevées. Car les ambitions sont là, bien affirmées. « L’objectif sera de finir dans les sept premiers, annonce Karim Fradin, le manager général du club. Les Niortais sortent de la dernière saison avec des sentiments mitigés. Un assez bon départ, un trou d’air à l’automne et une fin probante ont abouti à une place de 11e. « L’an passé, notre assez bon départ (7e après les neuf premières journées) a masqué notre fragilité. Il a fallu intégrer notre changement d’entraineur, stabiliser notre projet de jeu et compenser les départs de joueurs importants. Là, nous serons plus dans la continuité ». La formation au cœur Le club poursuit son développement. Pour rester une place forte de la Ligue 2, il s’appuiera sur ses atouts naturels. « La formation, c’est notre ADN ». Avec les départs de joueurs emblématiques comme Mouhamadou Diaw et Quentin Bernard en mai dernier, c’est un morceau d’histoire qui s’est achevée. Les Niortais devront certes recruter mais compteront également sur leurs jeunes du centre de formation. Jérémy Grain, Daouda Bassock, après Antoine Batisse, seront probablement lancés dans le grand bain du professionnalisme par le coach Régis Brouard. L’équipe réserve, montée d’un cran la saison passée (en CFA 2), sera en mesure d’apporter des forces vives. Jimmy Roye portera vraisemblablement le brassard de capitaine. Lilian Laslandes, l’ex-buteur international qui avait prodigué ses conseils aux attaquants la saison passée, devrait rempiler. Le calendrier des Chamois s’avère copieux pour ce premier quart de championnat. Des oppositions face à Dijon, Evian Thonon-Gaillard, Sochaux, Nancy ou Brest, assez raides sur le papier. Les premiers rendez-vous en compétition : 31/07 - Chamois – Valenciennes 7/08 - Dijon – Chamois 11/08 - Coupe de la Ligue : Sochaux - Chamois 14/08 – Chamois – Sochaux 21/08 – Evian TG – Chamois 25/08 – Eventuel 2e tour de coupe de la Ligue à Tours ou Orléans 28/08 – Chamois – Laval 11/09 – Nancy – Chamois 18/09 – Chamois – Nîmes 22/09 – Brest – Chamois 25/09 – Chamois – Clermont En attendant... Reprise le 24 Juin à 9h au stade René Gaillard. Le 24 après midi et les 25, 26, tests médicaux. Du dimanche 5 au samedi 11 juillet, stage aux Sables d'Olonne. Les matchs de préparation : - Le 11 juillet : contre Les Herbiers (National) à 18h aux Sables d'Olonne (défaite des Chamois 3-0) - Le 15 juillet : contre Luçon (National) à 18h à Chantonnay (victoire des Chamois 5-1) - Le 18 juillet : contre Angers (L1) à La Pommeraye (49), à 18h. - Le 22 juillet : contre Cholet (CFA) à Benet, à 19h. - Le 24 Juillet : contre Tours (L2) à 19h à Tours. Deux autres oppositions sont prévues les 8 et 11 juillet.
Au refuge municipal, on est soucieux du bien-être des animaux recueillis. Des bénévoles promènent les chiens et câlinent des chats pour préserver leur sociabilisation. Au refuge municipal, on est soucieux du bien-être des animaux recueillis. Des bénévoles promènent les chiens et câlinent des chats pour préserver leur sociabilisation. A Sainte-Pezenne, chemin de Mal-Bâti, le refuge pour animaux accueille chiens et chats errants récupérés sur la voie publique par les agents municipaux. « Ce n’est en aucun cas un mouroir, on n’y pratique pas l’euthanasie », assure Marie-Chantal Garenne, conseillère municipale en charge de l’animal dans la ville et du refuge. Un abri pour ces animaux en attente de retrouver leur maître ou prêts pour l’adoption. Les box ont été refaits à neuf durant l’année 2013 et, depuis la fin juin, sept bénévoles ont été recrutés pour promener les chiens et câliner les chats via l’Agility club de Cherveux, par le bouche-à-oreille et le réseau des vétérinaires du territoire. C’est le souhait de la nouvelle élue, que les chiens du refuge puissent sortir de leur box et conserver un lien avec les humains. Pas de recrudescence des entrées en été 157 chiens sont entrés au refuge depuis le début de l’année. 87 ont déjà retrouvé leur propriétaire et 14 ont été adoptés. Pour les chats, la problématique est plus pointue. 118 ont fait leur entrée au refuge depuis janvier 2014, 5 ont retrouvé leur maître et 2 seulement ont été adoptés. Les chats arrivent par portées entières après la période des naissances, au printemps. « Nous envisageons de lancer prochainement une campagne de sensibilisation à la stérilisation des chattes », explique Marie-Chantal Garenne, qui souligne que le refuge ne connait pas de recrudescence des entrées en période estivale. Chiens et chats entrent au refuge pour une période de fourrière de 10 jours durant laquelle ils peuvent être récupérés par leur propriétaire. Suit une période de deux mois environ qui les place en situation d’adoption. Si au terme des deux mois, ils n’ont pas trouvé de nouveau foyer, ils sont dirigés vers des structures SPA de la région parisienne où l’adoption est plus facile. Durant cette période, chiens et chats sont systématiquement vaccinés et pucés, stérilisés à la demande de l’adoptant. Recherche bénévoles et soignants vétérinaires Il en coûte entre 141,51 € et 70 € pour adopter un chien et de 175,30 € à 100,45 € pour un chat, selon l’âge, le sexe et les traitements reçus par l’animal. Trois agents municipaux sont affectés au refuge-fourrière, qui est ouvert tous les jours de 14h à 17h30, y compris les jours fériés. On peut consulter la liste des chiens et chats perdus et à adopter sur la page dédiée au refuge sur le site www.vivre-a-niort.com Le refuge poursuit sa recherche de bénévoles pour promener les chiens, jouer avec eux et porter quelque attention aux chats. Refuge municipal pour animaux - Chemin de Malbâti (quartier Sainte--Pezenne) ouvert au public du lundi au dimanche, de 14h à 17h30, 365 jours par an. Tél. 05 49 73 02 81 ou animaux.refuge@mairie-niort.fr Pour retrouver son animal perdu, consultez nos pages (Le 4 juillet 2014)
A neuf mois du coup d’envoi du Championnat du Monde, rendez-vous à L'Acclameur les 4 et 5 juin pour un évènement dédié au handball. A neuf mois du coup d’envoi du Championnat du Monde de handball masculin, la Ville de Niort s’affiche aux côtés du club Niort Handball souchéen associé à l’Entente Chauray-la Crèche handball pour promouvoir ce sport auprès du grand public. Elle soutient l’évènement-spectacle des 4 et 5 juin organisé à L’Acclameur. Le rendez-vous sportif à ne manquer sous aucun prétexte est bien le week-end des 4 et 5 juin entièrement dédié au handball. A cette occasion, et pour la première fois depuis son ouverture, la grande salle de L’Acclameur sera configurée pour accueillir des matchs de haut niveau, dans les règles imposées par la fédération. Le public se positionnera tout autour du terrain d’évolution des joueurs. 4000 spectateurs attendus sur les deux jours pourront notamment assister à 5 rencontres amicales entre des clubs de division 2 et de ligue professionnelle, dont la célèbre équipe H (HBC Nantes) actuellement à la 3e place de la ligue nationale. Nicolas Tournat, pivot du H, ancien joueur à Chauray, puis à Niort, parrainera l’évènement et coachera l’une des équipes du All Star Game 79 constituée des meilleurs joueurs du département. Ses fans pourront l’approcher au cours d’une séance de dédicaces. La Ville soutient les deux clubs organisateurs en accordant une subvention de 8500 € et la mise à disposition de L’Acclameur. Pour Alain Baudin, maire-adjoint délégué au sport « Cet évènement est l’occasion pour la Ville de faire homologuer L’Acclameur pour l’accueil de futures compétitions de handball de haut niveau » et pour nos clubs locaux de valoriser auprès du Comité Départemental et de la Ligue leur capacité à organiser des matchs officiels de l’Equipe de France à Niort. Au programme les 4 et 5 juin samedi 4 juin : 10h30 conférence entreprises : dynamique de groupe : Franck Maurice recrutement : profil et stratégie : Eric Pochon 13h30 tournoi USEP 16h match qualificatif championnat de france féminin : Fillière 79 / Confolens 16h30 séance de dédicaces avec Nicolas Tournat et Jackson Richardson 18h30 match République démocratique du Congo / Dijon Bourgogne HB 20h30 USAM Nîmes / USM Saran HB Dimanche 5 juin : 9h tournoi qualificatif régional 17 masculin - circonstance de formation pour l'école technique deux-sévrienne 14h30 All-Star Game 79 16h animation, festivités, dédicaces et échauffement des équipes 16h30 HBC Celles-sur-Belle / Club D1 équipe féminine (en négociation) 18h30 HBC Nantes / Billère Handball Pau Pyrénées + d’infos sur http://www.niorthbs.fr/ Billetterie sur le réseau ticketmaster (office de tourisme Niort Marais Poitevin, magasins Auchan, E.Leclerc) Tarifs grand public et licenciés. Placement libre. Renseignements au 06 71 93 29 18 ou acclameur2016handball@gmail.com Rendez-vous aussi le 19 juin Autre temps fort autour du handball, place de la Brèche : le 19 juin pour la finale du Handball Tour 79 de 14h à 18h. Réservé aux 6-12 ans, les jeunes pourront découvrir ce sport sous formes d’ateliers ludiques et de petits matchs amicaux. Les participants des sept étapes précédentes dans le département sont les bienvenus. Inscriptions sur place.
Le Centre contemporain d’art photographique, en partenariat avec la Ville, organise un parcours photographique en 3 lieux. Cette année : découvrez l'oeuvre de Claude Pauquet. Pour la troisième année, le Centre contemporain d’art photographique, en partenariat avec la Ville de Niort, organise un parcours photographique en trois stations qui invite à pénétrer en profondeur dans l’univers d’un photographe. Cette année, ces trois lieux d’art et de culture visitent et décryptent l’œuvre de Claude Pauquet dans sa grande diversité. Il présente trois séries très différentes les unes des autres, qui posent la question de la frontière entre les sphères publiques et privées, entre ce qui paraît et ce qui est. Vous avez réalisé la série « Private/18-35 » avec de jeunes Niortais ? Claude Pauquet : Après avoir abordé la question de la sphère familiale dans la série « Family », dont on peut voir la partie « Lussac » à la Villa Pérochon, je me suis intéressé aux jeunes de 18 à 35 ans, sans enfant, qu’ils soient en couple ou célibataires pour aborder à travers eux la question de l’intimité. Comment les avez-vous recrutés ? Claude Pauquet : Contrairement à la série « Crossing Madrid » où j’arrêtais les gens dans la rue, pour obtenir quelque chose entre l’instantanée et le posé, je suis passé tout d’abord par le Facebook de la Villa Pérochon et du Camji, puis le bouche-à-oreille a fonctionné. L’idée était totalement différente et se rapprochait de ce que j’avais fait sur « Family » : travailler avec mes modèles sur une mise en scène de leur intimité. Je les ai photographiés chez eux, pour la plupart, après un travail préparatoire durant lequel nous fixions un scénario. La mise en scène transparait volontairement dans ces deux séries. Claude Pauquet : Elle pose le rapport à la réalité. Nous parlons d’intimité, mais nous choisissons ce que nous allons vous montrer et comment nous allons vous le montrer. Une démarche pleine de questionnements troublants à la fois pour les modèles et pour le photographe. Le lien, pour surprenant qu’il soit, est vite trouvé avec la série « Fake » sur les techniques de marketing qui permettent de vendre tous les produits en agitant les mêmes grosses ficelles. Claude Pauquet : Effectivement, cette série pose différemment la question de ce qui est et de ce que l’on donne à voir. Il est surprenant de constater que, sur les salons, l’on vend des armes, de l’érotisme ou des voitures en utilisant le même décorum, ce qui entraîne de drôles de télescopages. Cela pose la question de la valeur intrinsèque des choses puisque le « paraître » dans ce cas prend le pas sur ce qui est. La question de la valeur est aussi au cœur de la série « 35 ans d’ancienneté », beaucoup plus douloureusement. Claude Pauquet : C’est une série de portraits sans autre mise en scène que le cadrage sur fond neutre réalisée à l’occasion d’un reportage pour Libération, lors de la fermeture d’une usine à Châtellerault en 2009. J’avais été frappé d’entendre dans la bouche de tous les ouvriers la même question « Et toi, tu as combien d’ancienneté ? », car cette ancienneté conditionnait le montant de la prime de licenciement. Mais au-delà de la question sur la valeur numéraire du travail s’exprimait celle sur ce qui ne se mesure pas : ce que l’on investit de soi dans une entreprise. Cette série a été achetée par le FRAC.
Nadège Abadie filme et questionne ceux qui, matin et soir, migrent entre domicile et travail. Nadège Abadie photographie, filme et questionne ceux qui, matin et soir, migrent entre domicile et lieu de travail niortais. Son exposition « Les Passagers » sera présentée au Pilori dans le cadre du festival Téciverdi et se poursuivra jusqu’à fin août. Près de 20 000 personnes, résidant dans un large périmètre hors la ville, convergeraient quotidiennement sur Niort pour venir y travailler. En voiture, en train, à vélo, à moto… ces migrations pendulaires intéressent la photographe Nadège Abadie qui s’est vu confier la réalisation d’une exposition et d’un documentaire sur le sujet. « Ce projet est une commande de la Ville, en lien avec la Villa Pérochon. Il s’intègre au thème des migrations du festival Téciverdi » , explique Gaëlle Pineau, du service culture de la Ville. Au début de l’année, un appel à participation a été lancé par voie de presse, auquel une vingtaine personnes a favorablement répondu. Une sélection a été faite pour assurer la diversité des profils, des âges, des métiers, des trajets, des moyens de locomotion. Douze migrants du quotidien seront, au final, photographiés, filmés et interviewés par l’artiste. Les prises de vues ont commencé lundi 7 avril et dureront deux semaines. Photos et films photographiques Nadège Abadie n’est pas une inconnue à Niort. Il y a précisément un an, elle était résidente des 19e Rencontres de la jeune photographie internationale. Elle avait réalisé alors un travail sur ces jeunes qui s’engagent dans l’Armée de terre via le centre de recrutement de Du Guesclin. Major de promotion 2012 de l’école nationale supérieure Louis-Lumière, elle s’est fait une spécialité de ce travail documentaire qui allie photo, vidéo et son. « C’est le genre de travail que je fais habituellement, à la différence que je travaille normalement avec une ingénieure son qui contribue à tous mes projets photos et installations. Là, je suis seule pour faire tout le travail. » Différente également, la durée de la mission : « Je travaille pas mal pour la presse nationale, donc la plupart du temps sur une journée. Ma commande niortaise porte sur un mois : j’ai eu une semaine de rencontre avec les personnes que je vais suivre, deux semaines de prises de vues, une semaine de post-production au Coin photo, l’atelier de l’association Pour l’Instant » . Du médecin urgentiste à l’agent technique de maison de retraite, de la lycéenne à l’aide-soignante… au départ de Poitiers, d’Ardin, de Frontenay-Rohan-Rohan, d’Échiré, St-Jean d'Angély… tous vont se soumettre à l’objectif et au micro de Nadège Abadie. « Je fais l’aller et le retour avec eux. Je prends des photos au départ de leur domicile et à l’arrivée sur leur lieu de travail. Même chose le soir. Je filme leur trajet et je prends le temps de m’entretenir avec eux. » L’exposition « Les Passagers », composée de tirages photo et d’une série de vidéos (qu’elle préfère appeler « films photographiques »), sera présentée au Pilori, le temps du festival Téciverdi, du 26 au 29 juin. Elle se poursuivra au même endroit en juillet et août. Le site internet de Nadège Abadie : http://nadegeabadie.fr/ (Le 9 avril 2014)
« Engagements Quartiers 2030 », le nouveau Contrat de ville qui couvre la période 2024-2030. Institutions, associations, acteurs de terrains, conseils citoyens et habitants se sont impliqués aux côtés de la Ville et l'Agglo pour élaborer la nouvelle feuille de route. 3 objectifs en faveur du développement des quartiers prioritaires simplifier et accélérer l’action publique en inscrivant dans le temps le déploiement des actions, assurer des réponses de qualité aux habitants, renforcer la mobilisation des acteurs et des habitants. Une actualisation des secteurs concernés Notamment au Clou-Bouchet : le périmètre prend en compte l’îlot « Carrefour » ; la nouvelle Résidence Habitat Jeunes « Joséphine Baker » en cours de construction ; les locaux de l’ancienne résidence habitat jeunes ; l’école Jean Zay ; à l’est du quartier, la rue Ampère et au Sud, le site des Ateliers du Rond-Point. À la Tour-Chabot/Gavacherie et au Pontreau-Colline Saint-André : les périmètres demeurent inchangés. 6 thématiques prioritaires issues des concertations du 1er semestre 2023 Développer des quartiers attractifs et bien insérés dans le territoire Définir une stratégie de peuplement à l’échelle de l’agglomération pour renforcer la mixité sociale. Développer l’attractivité des quartiers par le prisme culturel et sportif. Renforcer l’attractivité des espaces publics. Agir sur le sentiment d’insécurité. Soutenir l’entrepreneuriat dans les quartiers. L’éducation, la jeunesse et la parentalité Articuler les interventions des acteurs afin de soutenir les parents dans l’exercice des fonctions parentales. Renforcer les actions visant à ouvrir le champ des possibles des jeunes en luttant contre l’auto-censure, en promouvant la découverte des métiers, en valorisant les parcours de réussite et en renforçant les prises en charge des difficultés rencontrées (décrochage scolaire, rupture avec les institutions...). Conforter le Programme de réussite éducative. Réaffirmer les valeurs de la République. Bien vivre au sein des quartiers durables Aménager les espaces publics pour tenir compte des enjeux climatiques, des enjeux de cohésion sociale et de tranquillité publique. Développer l’offre de mobilité douce et son usage. Conforter les dispositifs de lutte contre les logements insuffisamment isolés. Soutenir les acteurs proposant des solutions responsables et durables pour devenir un territoire de référence. Pour des parcours vers l’emploi adaptés à tous Proposer des accompagnements personnalisés et renforcés qui ont vocation à lutter contre les barrières à l’emploi. Favoriser l’accès à la formation professionnelle. Porter une attention particulière à l’orientation et à l’insertion des jeunes. Améliorer les modes de diffusion de l’information concernant les offres existantes (ex : emplois, formations…), par des actions partenariales « d’aller vers ». Développer des actions de collaboration avec les entreprises autour notamment des recrutements et de la lutte contre les discriminations. La santé et le bien-être dans les quartiers Lutter contre le non-recours aux soins, via des actions d’aller-vers. Renforcer la prévention dès le plus jeune âge en développant les liens entre les politiques petite enfance et soutien à la parentalité. Promouvoir une alimentation saine et de la pratique du sport Répondre aux besoins sur le sujet de la santé mentale, en formant les différents professionnels. La citoyenneté en action : réinventer le vivre ensemble dans les quartiers Développer la participation et la mobilisation des habitants et lutter contre la distance entre population et institutions. Réaffirmer les valeurs de République, du « vivre ensemble » et lutter contre les discriminations. Accompagner le vieillissement de la population. Faciliter l’accès aux droits en renforçant les services de proximité, et en luttant contre l’illectronisme.