Ils ont pour eux la fougue de la jeunesse et le talent. Agés d’un peu plus de vingt ans en moyenne, les quatre copains des Colours in the Street sont déjà une machine à tubes. Leurs nombreux fans niortais leur préparent un sacré accueil.
Qu'on aime ou qu'on n'aime pas leur style très pop, très propre, on ne peut que rester baba devant la qualité des compositions des Colours in the street. Voyez plutôt Paper child, ce titre issu de "Royaume" leur premier album sorti en avril dernier, ou même A thousand candles.
Leur dernière actu en date, c'est le clip Birds, très léché, disponible en ligne depuis le 1er juillet.
« Nous avons eu l’opportunité de tourner dans le magnifique auditorium du TAP de Poitiers », détaille Noé Russeil, le bassiste, l’un des membres du groupe avec Alexandre Poussard, le chanteur, Lucien Saurin, le guitariste et Alexis Rimbault. De la formation originelle de 2010, deux sont partis et “Colours in the street s’est stabilisé autour de ces quatre-là depuis trois ans.
Ils habitent tous à Poitiers aujourd’hui, mais considèrent Niort comme leur « chez eux » et se savent très attendus ce 9 juillet. « A chaque fois que nous revenons, on sent un véritable engouement ici, Nous avons nos fidèles. Notre dernier concert au Camji (en février) a été très chaud ».
Les études entre parenthèses
Nombreux sont les professionnels du milieu de la musique à fonder de grands espoirs sur les Colours in the street. Les jeunes garçons se donnent en tout cas les moyens de pousser le projet à son maximum. « Nous avons tous mis nos études entre parenthèses, histoire d’être disponibles pour accompagner l’album ».
Ils comptent déjà quelques belles dates, notamment parisiennes, à leur actif : au Trianon, à la Tour Eiffel. Le 26 septembre, ils défendront "Royaume" à la Maroquinerie.
Comme les My Secretary - dont ils sont proches et avec lesquels ils partagent le même ingénieur du son Fabien Guilloteau – les quatre Colours ont déjà foulé la scène des Jeudis, il y a deux ans. Un final surprise et commun rassemblera les deux groupes. Les fans n'ont pas fini de hurler.
Toute l'actu du groupe sur son site.
(Le 8 juillet 2015)
