Théâtre:L'art de perdre

Naïma travaille dans une galerie d’art à Paris. Quand les attentats résonnent, la jeune femme est aussitôt renvoyée à sa peau mate, à ses origines. Portée par ce lien qui l’unit à sa grand-mère, elle reconstitue, un fragment après l’autre, l’histoire de sa famille. L’exil de son grand-père obligé de fuir l’Algérie.

Lieu

Horaire

Tarifs
  • De 10 à 28 €
[IMAGE ALT] - Agrandir l'image, fenêtre modale

Le

Description

Naïma travaille dans une galerie d’art à Paris. Quand les attentats résonnent, la jeune femme est aussitôt renvoyée à sa peau mate, à ses origines. Portée par ce lien qui l’unit à sa grand-mère, elle reconstitue, un fragment après l’autre, l’histoire de sa famille. L’exil de son grand-père obligé de fuir l’Algérie. La honte des harkis. L’arrivée dans les camps du sud de la France. Sur la scène où les souvenirs prennent vie, Naïma renoue avec ses racines et trouve l’apaisement.

Non sans humour, les anecdotes familiales se succèdent et tracent une petite histoire dans la grande. Le texte d’Alice Zeniter, Prix Goncourt des Lycéens, porté avec beaucoup de sensibilité sur scène par Sabrina Kouroughli, montre comment l’exil entraine avec lui les générations suivantes. Que veut dire transmettre un pays, une culture, une langue, une histoire ? Dans cette quête d’identité, Naïma cherche à rompre la chaîne du silence.

Oganisateur