La Semaine pour l’emploi des personnes handicapées, du 18 au 21 novembre, s’enrichit cette année d’un Carrefour du vivre avec, le lundi 17. Rendez-vous au parc des expositions, halle Galuchet La Semaine pour l’emploi des personnes handicapées, du 18 au 21 novembre, s’enrichit cette année d’un Carrefour du vivre avec, le lundi 17. « L’idée est d’apporter aux personnes en situation de fragilité de santé et/ou de handicap toutes les informations et les solutions nécessaires pour leur retour vers l’emploi et la vie sociale » , explique Juline Jourdain, médiatrice socioculturelle à l’Irva (Institut régional du vivre avec) organisateur de l’événement. Sur le chemin du vivre avec Dans la halle Galuchet du Parc expo de Noron, les visiteurs suivront le "Chemin du vivre avec" à travers une cinquantaine de stands tenus par des associations, entreprises, institutions en lien avec la santé, le handicap, le bien-être. Dans un espace cosy, un coin café, des jeux pédagogiques, de la documentation inviteront à la détente studieuse, tandis qu’une carte interactive localisera toutes les structures d’aide aux personnes en fragilité de santé ou handicapées, sur le territoire de la CAN. « Très complète, elle indiquera même les pratiques alternatives » . Le Carrefour du vivre avec est ouvert à tous, sans inscription préalable, de 10h à 20h. Une semaine pour renouer avec le monde du travail Le lendemain, mardi 18 novembre, débutera la Semaine pour l’emploi des personnes handicapées, quatre jours d’ateliers et de rencontres pour renouer avec le monde du travail via des portes ouvertes d’entreprises. Après une première journée d’information, les participants partiront en binômes à la rencontre d’entrepreneurs qui leur proposeront des simulations d’entretien d’embauche et des échanges autour du recrutement. « Une trentaine d’employeurs ont joué le jeu l’an passé, nous aimerions en avoir plus cette année » , espère Juline Jourdain. Un partenariat avec le réseau TAN permettra aux participants d’emprunter gratuitement les bus pour se rendre sur le Carrefour et sur leurs lieux de rendez-vous durant leur parcours vers les employeurs. Ils seront, au besoin, épaulés par ses ambassadeurs du transport. Attention, pour participer à la Semaine pour l’emploi des personnes handicapées et bénéficier de la gratuité du transport, il est nécessaire de s’inscrire auprès de l’Irva. Irva. 110, avenue de Limoges (dans les locaux de la Mutualité française). Tél. : 06 78 76 45 24. Courriel : relais79@institut-irva.com (Le 13 novembre 2014)
Rendez-vous le 15 novembre au salon de l’enseignement supérieur et des métiers à Noron. Samedi 15 novembre, de 10h à 18h, le parc des expositions de Niort accueille, le salon de l’enseignement supérieur et des métiers. Plus de soixante-dix exposants sont présents. L’occasion de tout savoir sur le cursus et les métiers possibles sans quitter la région… voire même rester à Niort ! La rentrée à peine passée, le marathon de l’orientation commence pour de nombreux étudiants. C'est le moment de faire des choix. Le dépôt des candidatures dans les écoles commence dès le mois de janvier. Le salon de l’enseignement supérieur et des métiers permet de rencontrer les acteurs de la formation, d’échanger et tout savoir sur les cursus relatifs aux métiers. Les spécialistes et Les professionnels présentent les pôles de compétitivité du territoire, ses métiers, ses perspectives d’emplois. Pour faciliter la visite, le salon se décline en plusieurs filières : Commerce, économie, gestion Agriculture, agro-alimentaire, environnement Banque, assurance, droit Santé, social, sport, Informatique, industrie, BTP Risques, sécurité Métiers de l’éducation Art, culture, communication A Niort, le pôle universitaire dispense des formations dans la plupart de ces domaines. Sans quitter la ville, on peut obtenir un diplôme de Bac + 2 au doctorat. De la formation initiale à l’alternance les possibilités sont multiples. Une étude de 2013 menée par le service étude de l’Université sur les élèves de licences professionnelles et de master, révèle en plus un très bon taux d’insertion des étudiants sur le marché du travail. Selon les filières, 70% à 100% d’entre eux occupent un emploi six mois après l’obtention de leur diplôme. Trente mois après, la plupart des étudiants sont entrés dans la vie active. Pour compléter l’information, des discussions sont prévues toute la journée. Sur chaque créneau horaire, possibilité de se renseigner sur la formation ou sur les métiers. De 10h30 à 11h30. « Les atouts des études en alternance » et « Travailler dans le secteur de l’économie sociale et solidaire ». De 12h à 13 h. « Bien choisir son parcours universitaire (DUT, licence, licence pro, master...) » et « L'industrie : un secteur qui recrute ». De 14h30 à 15h30 : « opter pour un BTS ou un DUT: quelles poursuites d'études ? Quelle insertion professionnelle ? » ou « Banques-assurances-mutuelles : quels diplômes, quels métiers ? » De 16h à 17h : « A quel moment intégrer une grande école ? » ou « Travailler dans le digital et l'économie numérique. » + d'infos www.letudiant.fr (Le 14 novembre 2014)
L’institut de beauté Escales détente s’est installé dans la 4e cellule commerciale locative de la place Jacques-Cartier rénovée, dans le cadre du Projet de rénovation urbaine et sociale de la Tour Chabot-Gavacherie. L’institut de beauté Escales détente s’est installé dans la 4e cellule commerciale locative de la place Jacques-Cartier rénovée, dans le cadre du Projet de rénovation urbaine et sociale de la Tour Chabot-Gavacherie. Le pôle commercial de la place Jacques-Cartier est au complet. Mi-avril, un institut de beauté à l’enseigne Escales détente a rejoint la supérette Coop, le bar-tabac des Cités et le bureau de poste, dans la dernière cellule locative disponible. Précédemment installée dans la galerie commerciale du magasin Carrefour, au Clou-Bouchet, Adeline Cardin a déménagé son institut parce que l’opportunité de ce local neuf lui permettait de créer un espace à son goût, adapté à son activité. Louée « brut de béton », la cellule a été rendue accessible aux personnes à mobilité réduite et aménagée avec des solutions écologiques. « C’était une condition sine qua non pour accéder aux subventions de la CAN et de la région , explique Adeline Cardin. J’aurais pu faire moins, mais comme l’écologie me tient à cœur j’y suis allée à fond. Et c’est en totale cohérence avec mon concept, puisque je ne travaille qu’avec des produits bio » . Un quartier redynamisé par les travaux du Prus Ouvert le 15 avril dernier, Escales détente a immédiatement trouvé sa clientèle. Celle de la galerie Carrefour a suivi Adeline Cardin dans sa nouvelle implantation et elle a gagné des clients du quartier. « J’ai même des personnes du centre-ville qui viennent jusqu’ici. J’ai un parking gratuit et le quartier est redynamisé par les travaux. Il fait petit village, surtout le vendredi matin avec le marché qui s’installe sur la place. C’est très convivial. » Pour l’heure seule aux manettes, Adeline Cardin envisage de recruter dans un futur proche, pour satisfaire tous les rendez-vous qu’elle est contrainte de refuser aujourd’hui. L’institut Escales détente occupe la 4e cellule d’un bâtiment de 500 m2 construit et financé à hauteur de 805 000 € par la Société d'économie mixte immobilière et économique (Semie) dans le cadre du Projet de rénovation urbaine et sociale (Prus). Les aides qu’elle a perçues de la Ville (378 000 €) et de l’Agence nationale pour la rénovation urbaine (131 800 €), permettent à la Semie de proposer des loyers adaptés à la situation économique des entreprises. Escales détente, 32 rue Jacques-Cartier. Tél. : 05 49 75 53 76. Ouvert du mardi au vendredi de 9h à 19h, non-stop. Le mercredi de 9h à 15h30. Le samedi de 9h à 15h. (Le 23 juin 2014)
Aller à contenu Menu Démarches en ligne Prise de rendez-vous Signaler une anomalie Titres d'identité Elections / citoyenneté Ecoles / Centres de loisirs Petite enfance Handicap / perte d’autonomie Conseil de quartier / e-participation Marchés publics / appels à projets Toutes mes démarches J'ouvre mon magasin - guide pratique L’hyper centre, qui s’étend de la rue Brisson à la place de la Brèche, regroupe 439 établissements commerciaux: 31 % relèvent de l'équipement de la personne, de la santé et de la beauté (prêt à porter, chaussures, bijoux, parfums, pharmacies, coiffeurs...), 18 % de l'hôtellerie et de la restauration 14 % des services aux particuliers (agences immobilières, de voyage, d'intérim, banques, assurances, cordonneries...) 10% alimentation générale (Source : cabinet Bérénice / janvier 2015) Les enseignes nationales sont bien représentées, sans pour autant être majoritaires (39%). On compte 7% de locaux vacants à Niort contre 10% dans les villes comparables. En prenant en compte les quartiers de la gare et du port, on recense près de 490 établissements commerciaux (dont 103 points de vente dans les halles alimentaires). Les Halles de Niort jouent un rôle important dans l'attractivité commerciale du centre-ville. Elles sont ouvertes tous les matins du mardi au dimanche, ainsi que les jours fériés. Une centaine de commerçants et producteurs ont un banc sous le marché couvert ou un emplacement sur l'un des deux parvis. Les jeudis et les samedis, un marché ambulant non alimentaire se tient place du Donjon. Vous serez amenés à contacter le manager commerce Si vous êtes porteur d’un projet commercial dans l’une des communes de l’Agglomération ou si vous représentez une franchise. Celui-ci vous conseillera et vous aidera à trouver un local. Si vous êtes une commune de l’Agglomération. Il vous accompagnera dans votre projet en vous apportant un appui dans sa conception. Si vous êtes une association de commerçants de centre-ville. Il vous aidera à valoriser et orchestrer vos actions et animations commerciales, en lien avec politique de développement économique menée par la commune. + d'infos sur la mission du manager de centre-ville recruté par l'Agglomération du Niortais Contact : Manager de Centre-Ville et Centre-bourg (Niort Agglo/Ville de Niort) Adresse : 140 rue des Equarts 79000 Niort Téléphone 0517388048 Téléphone 0764353965 Courriel Tous nos sites Site précédent Site suivant Niort Agglo Niort dedans/dehors Médiathèques Tanlib #Niort Sup' Piscines Regards Noirs Patinoire Conservatoire Musées Niort Tech Office tourisme Mairie de Niort Adresse: Place Martin Bastard, CS 58755-79027 79000 Niort Téléphone 05 49 78 79 80 Nous contacter Cadre de vie Mairie Services publics Actualités Données publiques Suivez-nous Notre Facebook Notre Youtube Notre Instagram Notre Linkedin Newsletter JE M'inscris ✿✿✿ Ville fleurie Nous écrire / nous contacter Mentions légales Accessibilité : non conforme
Aller à contenu Menu Démarches en ligne Prise de rendez-vous Signaler une anomalie Titres d'identité Elections / citoyenneté Ecoles / Centres de loisirs Petite enfance Handicap / perte d’autonomie Conseil de quartier / e-participation Marchés publics / appels à projets Toutes mes démarches Le principe est simple : chaque matin, des parents, à tour de rôle, accompagnent un groupe d'enfants vers leur école selon un itinéraire rapide et sécurisé qui comporte plusieurs arrêts. Soucieuse de mettre en place ou d'accompagner des initiatives qui contribuent à la protection de l'environnement, la Ville de Niort facilite l'ouverture de lignes Pédibus et met notamment à la disposition des parents les outils utiles au montage d'un projet. Les parents d'élèves intéressés par ce service sont invités à contacter chaque année les représentants de parents d'élèves pour savoir si une ligne Pédibus est ouverte dans leur école. Le porteur du projet Pédibus, c'est-à-dire l'école ou l'association des parents d'élèves, est obligatoirement assuré pour les activités qu'il organise. Nous conseillons vivement à chaque porteur de projet de se rapprocher de sa compagnie d'assurance pour vérifier que les accidents survenant sur le trajet du Pédibus soient bien pris en compte dans le contrat. La Ville de Niort intervient en conseil et en soutien logistique dans la mise en place des lignes Pédibus. Elle met à disposition des supports de communication pour aider les parents à promouvoir leur projets, évalue la sécurité des itinéraires envisagés, assure la pose de la signalétique et étudie les aménagements de voirie à réaliser. Pas à pas : le montage d'un projet Pédibus 1) constituer un groupe de travail rassemblant parents, associations de parents et enseignants. Ensemble, ils lanceront le projet Pédibus pour leur école, puis l'animeront tout au long de l'année scolaire (sensibilisation des parents, identification des itinéraires, constitution des équipes de conducteurs et organisation des plannings). 2) sensibiliser tous les parents en organisant une réunion d'information pour présenter la démarche. Cette sensibilisation permettra de renforcer l'équipe projet, de commencer à recruter des futurs conducteurs de lignes, de rassurer les parents et définir les rôles de chacun. 3) réaliser un diagnostic pour recenser les enfants susceptibles d'emprunter le Pédibus, recruter les parents accompagnateurs et proposer des trajets. Pour cela, il faut lancer une enquête en diffusant un questionnaire. 4) déterminer les lignes Pédibus, leurs points d'arrêt et horaires, en fonction des réponses au questionnaire. Les propositions d'itinéraires sont étudiées par les services de la Ville qui vérifient la sécurité du parcours, étudient les aménagements de voirie à réaliser et posent la signalétique Pédibus à chaque arrêt. 5) mobiliser et former les accompagnateurs. Une formation peut être proposée par Prévention MAIF pour les écoles publiques et la direction des services départementaux de l'éducation nationale sur le thème de la sécurité. Le groupe de travail doit établir un planning des accompagnateurs par ligne avec leurs coordonnées téléphoniques. Une ligne peut fonctionner avec au moins 8 accompagnateurs (2 parents mobilisés chaque matin). 6) se lancer, c'est au préalable recueillir l'adhésion des familles intéressées et l'engagement de tous les acteurs. Il faudra faire remplir aux familles un bulletin d'adhésion au projet et signer une charte (famille, enfant et accompagnateur). 7) tester le dispositif pendant une semaine pour évaluer les premières impressions des enfants, des parents et des accompagnateurs et ajuster le cas échéant le projet. 8) finaliser et pérenniser le projet en transformant la période d'essai en mode de fonctionnement quotidien. Il faudra solliciter les services de la ville pour la pose de panneaux aux arrêts et bien sûr communiquer le plus possible sur le Pédibus tout au long de l'année, en diverses occasions comme les conseils et fêtes d'écoles. Documents utiles Ces documents ont été réalisés collectivement par des enseignants, des parents et la Ville de Niort. Questionnaire pour l'expérimentation Questionnaire simplifié de renouvellement Bulletin d'adhésion des familles Charte des parents Charte des accompagnateurs Charte des enfants Une meilleure conscience de l'environnement de la rue Aller tous les jours à l'école à pied permet aux enfants d'apprendre à être de "bons" piétons en mettant en pratique les règles de sécurité. Une solidarité au sein du quartier Les parents font connaissance et confient leurs enfants à d'autres parents du quartier le temps du trajet jusqu'à l'école. Les enfants tissent des liens privilégiés avec les enfants de leur ligne Pédibus et ont une meilleure connaissance de leur quartier. Un relais entre parents Si huit parents s'organisent pour accompagner les enfants chacun une fois par semaine, alors les parents peuvent commencer plus tôt leur journée de travail trois matins par semaine. Les bienfaits de la marche La marche à pied est un excellent exercice pour les petits et les grands. En France, l'obésité concerne 12,6% de la population et le nombre d'enfants de 10 ans souffrant de ce problème a doublé depuis 1980. Moins de pollution à proximité des groupes scolaires, moins de bruit En moyenne le trajet domicile-école représente 750 mètres. Les voitures utilisées pour ces petits trajets parcourent chaque jour près de 500 000 km en Poitou-Charentes ce qui représente plus de 35 000 tonnes de CO² par an. En adoptant le Pédibus, les enfants deviennent les acteurs de l'environnement et les adeptes de demain des modes doux de déplacements. Moins de trafic aux abords des écoles, moins de stationnement anarchique. En France, de nombreux enfants du cycle primaire sont quotidiennement conduits à l'école en voiture. Le recours à l'automobile pour ces déplacements quotidiens peut atteindre 80% selon les villes et les types d'établissements scolaires. Contact : Education Adresse : Ville de Niort Hôtel Administratif Place Martin Bastard CS 58755 79027 Niort Téléphone 05.49.78.73.06 Courriel Tous nos sites Site précédent Site suivant Niort Agglo Niort dedans/dehors Médiathèques Tanlib #Niort Sup' Piscines Regards Noirs Patinoire Conservatoire Musées Niort Tech Office tourisme Mairie de Niort Adresse: Place Martin Bastard, CS 58755-79027 79000 Niort Téléphone 05 49 78 79 80 Nous contacter Cadre de vie Mairie Services publics Actualités Données publiques Suivez-nous Notre Facebook Notre Youtube Notre Instagram Notre Linkedin Newsletter JE M'inscris ✿✿✿ Ville fleurie Nous écrire / nous contacter Mentions légales Accessibilité : non conforme
Le 9 septembre à 11h ouvre H&M la nouvelle enseigne commerciale tant attendue en centre-ville. Le 9 septembre à 11h, l'enseigne H&M ouvre rue Victor-Hugo, à l'emplacement de l'ancien passage Hugo. Elle occupe une surface commerciale de 1800 m² en plein coeur de ville, actuellement en pleine mutation avec le soutien de la municipalité. "La Ville investit pour ses habitants et pour le centre-ville. Et la bonne nouvelle est qu'elle n'est pas la seule à le faire, comme la société 2I M A, promoteur de l'enseigne H&M à Niort." annonce Jérôme Baloge."Je me réjouis de l'arrivée de cette locomotive commerciale qui va dans le sens de l'histoire de Niort. La Ville a une volonté forte de reconquête du centre-ville pour en faire un vrai poumon à l'échelle de Niort et de son agglomération, à la fois un lieu de sociabilité et de commerce." Elle favorise le développement du coeur de ville pour inciter les investisseurs à s'intéresser à Niort et y développer le commerce et l'habitat. Elle-même a mis en place de multiples actions pour valoriser l'environnement architectural, requalifier les espaces publics et contribuer à étendre l'attractivité du centre-ville sur d'autres pôles comme Boinot, le quartier de la gare ou la place Denfert Rochereau et le centre Du Guesclin. Elle agit aussi sur d'autres facteurs attractifs comme les conditions de stationnement en hyper-centre. La Ville garantit ce cadre favorable pour le développement du commerce. Raphaël Abitbol, promoteur, est fier de cette réalisation qui lie modernité et qualité architecturale des lieux. Il se félicite que "la mairie investisse autant pour son centre-ville". Laurent Cohen, responsable Expansion de l'enseigne ajoute que "le centre-ville de Niort est beau et donne envie de s'y installer. On espère que notre venue donnera envie à d'autres de venir". Plusieurs pistes se présentent, mais nous pouvons déjà annoncer officiellement l'arrivée de la chaîne Bio c' Bon en septembre à l'emplacement de l'ancien magasin Burton. Le 193e magasin H&M en France sera niortais Le promoteur 2I M A s'est engagé à mettre en valeur les qualités architecturales du bâtiment qui a lui seul présente un intérêt nouveau pour le centre-ville. L'investisseur possède d'autres immeubles dans la rue Victor-Hugo, occupés par Internity, Tape à l'oeil et ex André. Il entend les réhabiliter pour ouvrir d'autres commerces et aménager des logements aux étages. Comme dans tous ses projets, 2I M A travaille avec des architectes (à Niort, Hervé Beaudouin pour le magasin H&M) et des entreprises locales. L'enseigne H&M a choisi le centre-ville de Niort après Nice pour installer sa 193e enseignes en France. L'ouverture du magasin va nécessiter le recrutement d'une équipe de 20 personnes par l'intermédiaire de Pôle emploi. Son ouverture sera un évènement, on peut espérer, comme à Evreux il y a deux ans, qui avait accueilli dès le premier jour 8000 personnes.
Claude Guignard, président fondateur du Carrefour des métiers de bouche, invite les jeunes à saisir les opportunités offertes par les filières des métiers de bouche. Entretien. Claude Guignard, président fondateur du Carrefour des métiers de bouche, invite les jeunes à saisir les opportunités offertes par les filières des métiers de bouche. Entretien. Les manifestations dédiées aux métiers de bouche et à la gastronomie ne manquent pas. En quoi la vôtre se démarque-t-elle ? Claude Guignard : D’abord par le fait que nous sommes le seul, en France, ouvert gratuitement aux professionnels et au grand public. Nous sommes également le seul organisé par des bénévoles des fédérations des métiers de bouche. Notre association ne compte aucun salarié. Dès la création en 1991, le but était de favoriser l’intérêt des jeunes pour nos métiers et les orienter sur les formations. Pour cela il fallait que le salon soit gratuit. Je dois dire que la mission est réussie, car à la suite de chaque Carrefour, nous enregistrons en moyenne 10 % de jeunes en plus en apprentissage. Vos métiers ont-ils toujours du mal à recruter des jeunes ? Claude Guignard : Beaucoup et particulièrement cette année. La restauration est relativement épargnée, mais la boulangerie, la boucherie, la charcuterie sont très impactées. Le Carrefour est précisément là pour démontrer combien ces métiers peuvent être attrayants. Nous nous efforçons de créer un climat favorable à la rencontre et à la discussion entre les jeunes et les professionnels. Il est plus agréable et moins stressant pour un gamin de 14 ans de discuter avec un professionnel sur le salon plutôt que frapper à sa porte pour lui demander s’il veut bien le prendre en apprentissage. Pourquoi les jeunes rechignent-ils à aller vers ces métiers et vers l’apprentissage ? Claude Guignard : Il y a eu des erreurs historiques de l’Éducation nationale qui n’a pas compris le poids de l’apprentissage et s’est ingéniée à orienter les enfants vers l’école traditionnelle, à les envoyer systématiquement à la fac après le bac, par exemple. Sauf que, même très doués, il y a des gens qui ne sont pas faits pour cela, ou qui n’ont pas forcément envie de poursuivre leurs études. On paie aujourd’hui cette mauvaise politique d’un passé encore récent. La Carrefour, à son niveau, vient revaloriser l’apprentissage et, argument de poids, démontre que nos métiers recrutent. Les salaires sont plutôt bons maintenant, les contrats plus intéressants, on bénéficie des assurances et des complémentaires comme tout le monde. Ce qui n’est pas négligeable dans le contexte actuel. C’est quoi un visiteur heureux, pour vous ? Claude Guignard : C’est quelqu’un qui, en sortant, va prêcher la bonne parole, qui parle de nos métiers en bien autour de lui et qui ressort avec la banane. Comme un restaurateur qui voit partir ses clients avec un grand sourire de satisfaction. La deuxième réussite, c’est que le Carrefour créé une émulation auprès des jeunes, qu’il leur ouvre des perspectives d’avenir, même à ceux n’avaient peut-être pas imaginé faire carrière dans nos métiers. Propos recueillis par Jean-Philippe Béquet (Le 12 octobre 2014)
Le jeune volleyeur Anatole Chaboissant était de passage à Niort avec sa nouvelle équipe du Paris Volley. Ses parents, Jacques et Béatrice, experts du jeu, accompagnent son parcours hors du commun. Deux équipes du championnat de France de volley- ball masculin (la MSL ou Marmara SpikeLigue pour les intimes) s’étaient donné dernièrement rendez-vous dans la salle Henri-Barbusse pour peaufiner leur avant-saison. L’Alterna Stade Poitevin affrontait le Paris Volley, tout nouveau club de l’enfant du pays, le passeur Anatole Chaboissant. « Depuis mon départ de Sainte-Pezenne, je n’étais jamais revenu jouer ici. Ça me fait un truc particulier » , annonce-t-il, relax et concentré. À l’issue de deux oppositions intenses, au cours desquelles Anatole a distillé passes soyeuses et conseils avisés aux partenaires qu’il découvre, les Parisiens ont vite repris la route de la capitale. « On s’attendait à deux gros matchs, on les a eus et on a gagné. » Derrière la bonhomie, la hargne du compétiteur n’est pas loin. Dans le ventre de maman Depuis le titre de champion de France des moins de 15 ans avec Sainte-Pezenne en 2018, Anatole a suivi le chemin d’un surdoué et connu une ascension verticale. Après le pôle Espoir au Creps de Montpellier, les diverses sélections en équipe de France de sa catégorie, il a signé un premier contrat pro à Nantes Rezé en 2022, où son talent a éclaboussé. La saison passée, il a été nommé meilleur jeune de la Ligue A (le top). « Mais j’étais entré dans une zone de confort. J’avais besoin d’un nouveau challenge. » Et c’est donc en qualité de capitaine, du haut de ses 21 ans, que le club parisien a décidé de recruter « le passeur aux mains en or ». « Tout le monde aime Anatole, souligne Jacques, son père, figure du volley niortais. Il est positif, attentif. Avec sa maman, on l’a préparé à ce rôle de leader, de relais avec le coach. » Béatrice Chaboissant-Trésor, ex-joueuse de haut niveau, n’est pas plus surprise par le parcours flamboyant de son petit de 1,88 m. « Anatole est capitaine car il instaure une sérénité. Et c’est un super passeur qui voit le jeu et transmet les informations justes. » Des qualités techniques et de stratège hors du commun, qu’il a sans doute puisées aux sources même de la vie. « Anatole a commencé le volley avant d’être né puisque Béatrice, passeuse elle aussi, jouait alors qu’elle était enceinte de lui, sourit Jacques. Avec sa soeur Calypso (membre de l’équipe Élite du VBPN), ils ont réellement grandi dans cette salle. » Cet été, le volley français a brillé à tous les niveaux internationaux. Une périostite a tenu Anatole éloigné des terrains et des trophées. « Je n’étais pas du tout frustré mais au contraire très content pour mes copains. Voilà longtemps que ma génération n’avait pas gagné quelque chose au niveau international », assure le champion positif. Au-delà de la reprise du championnat du Paris Volley, le 28 septembre, on se projette pour Anatole vers des rêves de gloire en Bleu.
Le championnat de Ligue 2 reprend au cœur de l’été. Les Chamois niortais version 2015-2016 affichent de nouvelles ambitions. Le championnat de Ligue 2 reprend au cœur de l’été. Les Chamois niortais version 2015-2016 affichent de nouvelles ambitions. Le 31 juillet, les Chamois entament leur quatrième saison de Ligue 2 de suite. Il leur faudra être chauds dès cet été, pour bien négocier le début d’exercice et partir sur des bases élevées. Car les ambitions sont là, bien affirmées. « L’objectif sera de finir dans les sept premiers, annonce Karim Fradin, le manager général du club. Les Niortais sortent de la dernière saison avec des sentiments mitigés. Un assez bon départ, un trou d’air à l’automne et une fin probante ont abouti à une place de 11e. « L’an passé, notre assez bon départ (7e après les neuf premières journées) a masqué notre fragilité. Il a fallu intégrer notre changement d’entraineur, stabiliser notre projet de jeu et compenser les départs de joueurs importants. Là, nous serons plus dans la continuité ». La formation au cœur Le club poursuit son développement. Pour rester une place forte de la Ligue 2, il s’appuiera sur ses atouts naturels. « La formation, c’est notre ADN ». Avec les départs de joueurs emblématiques comme Mouhamadou Diaw et Quentin Bernard en mai dernier, c’est un morceau d’histoire qui s’est achevée. Les Niortais devront certes recruter mais compteront également sur leurs jeunes du centre de formation. Jérémy Grain, Daouda Bassock, après Antoine Batisse, seront probablement lancés dans le grand bain du professionnalisme par le coach Régis Brouard. L’équipe réserve, montée d’un cran la saison passée (en CFA 2), sera en mesure d’apporter des forces vives. Jimmy Roye portera vraisemblablement le brassard de capitaine. Lilian Laslandes, l’ex-buteur international qui avait prodigué ses conseils aux attaquants la saison passée, devrait rempiler. Le calendrier des Chamois s’avère copieux pour ce premier quart de championnat. Des oppositions face à Dijon, Evian Thonon-Gaillard, Sochaux, Nancy ou Brest, assez raides sur le papier. Les premiers rendez-vous en compétition : 31/07 - Chamois – Valenciennes 7/08 - Dijon – Chamois 11/08 - Coupe de la Ligue : Sochaux - Chamois 14/08 – Chamois – Sochaux 21/08 – Evian TG – Chamois 25/08 – Eventuel 2e tour de coupe de la Ligue à Tours ou Orléans 28/08 – Chamois – Laval 11/09 – Nancy – Chamois 18/09 – Chamois – Nîmes 22/09 – Brest – Chamois 25/09 – Chamois – Clermont En attendant... Reprise le 24 Juin à 9h au stade René Gaillard. Le 24 après midi et les 25, 26, tests médicaux. Du dimanche 5 au samedi 11 juillet, stage aux Sables d'Olonne. Les matchs de préparation : - Le 11 juillet : contre Les Herbiers (National) à 18h aux Sables d'Olonne (défaite des Chamois 3-0) - Le 15 juillet : contre Luçon (National) à 18h à Chantonnay (victoire des Chamois 5-1) - Le 18 juillet : contre Angers (L1) à La Pommeraye (49), à 18h. - Le 22 juillet : contre Cholet (CFA) à Benet, à 19h. - Le 24 Juillet : contre Tours (L2) à 19h à Tours. Deux autres oppositions sont prévues les 8 et 11 juillet.
Au refuge municipal, on est soucieux du bien-être des animaux recueillis. Des bénévoles promènent les chiens et câlinent des chats pour préserver leur sociabilisation. Au refuge municipal, on est soucieux du bien-être des animaux recueillis. Des bénévoles promènent les chiens et câlinent des chats pour préserver leur sociabilisation. A Sainte-Pezenne, chemin de Mal-Bâti, le refuge pour animaux accueille chiens et chats errants récupérés sur la voie publique par les agents municipaux. « Ce n’est en aucun cas un mouroir, on n’y pratique pas l’euthanasie », assure Marie-Chantal Garenne, conseillère municipale en charge de l’animal dans la ville et du refuge. Un abri pour ces animaux en attente de retrouver leur maître ou prêts pour l’adoption. Les box ont été refaits à neuf durant l’année 2013 et, depuis la fin juin, sept bénévoles ont été recrutés pour promener les chiens et câliner les chats via l’Agility club de Cherveux, par le bouche-à-oreille et le réseau des vétérinaires du territoire. C’est le souhait de la nouvelle élue, que les chiens du refuge puissent sortir de leur box et conserver un lien avec les humains. Pas de recrudescence des entrées en été 157 chiens sont entrés au refuge depuis le début de l’année. 87 ont déjà retrouvé leur propriétaire et 14 ont été adoptés. Pour les chats, la problématique est plus pointue. 118 ont fait leur entrée au refuge depuis janvier 2014, 5 ont retrouvé leur maître et 2 seulement ont été adoptés. Les chats arrivent par portées entières après la période des naissances, au printemps. « Nous envisageons de lancer prochainement une campagne de sensibilisation à la stérilisation des chattes », explique Marie-Chantal Garenne, qui souligne que le refuge ne connait pas de recrudescence des entrées en période estivale. Chiens et chats entrent au refuge pour une période de fourrière de 10 jours durant laquelle ils peuvent être récupérés par leur propriétaire. Suit une période de deux mois environ qui les place en situation d’adoption. Si au terme des deux mois, ils n’ont pas trouvé de nouveau foyer, ils sont dirigés vers des structures SPA de la région parisienne où l’adoption est plus facile. Durant cette période, chiens et chats sont systématiquement vaccinés et pucés, stérilisés à la demande de l’adoptant. Recherche bénévoles et soignants vétérinaires Il en coûte entre 141,51 € et 70 € pour adopter un chien et de 175,30 € à 100,45 € pour un chat, selon l’âge, le sexe et les traitements reçus par l’animal. Trois agents municipaux sont affectés au refuge-fourrière, qui est ouvert tous les jours de 14h à 17h30, y compris les jours fériés. On peut consulter la liste des chiens et chats perdus et à adopter sur la page dédiée au refuge sur le site www.vivre-a-niort.com Le refuge poursuit sa recherche de bénévoles pour promener les chiens, jouer avec eux et porter quelque attention aux chats. Refuge municipal pour animaux - Chemin de Malbâti (quartier Sainte--Pezenne) ouvert au public du lundi au dimanche, de 14h à 17h30, 365 jours par an. Tél. 05 49 73 02 81 ou animaux.refuge@mairie-niort.fr Pour retrouver son animal perdu, consultez nos pages (Le 4 juillet 2014)