:Accrochage : François Verdier, artiste graveur

Le musée Bernard d'Agesci a rassemblé une série de gravures de François Verdier, autour du monde animalier. L'occasion de mettre en valeur la collection d’histoire naturelle et de présenter quelques spécimens en lien avec les oeuvres de l'artiste.

Lieu
Tarifs
  • 5€ (tarif plein)
  • Entrée gratuite pour les moins de 25 ans
[IMAGE ALT] - Agrandir l'image, fenêtre modale

Duau

Dates :

Du mardi 1 octobre 2019 au dimanche 3 novembre 2019 Du mardi au vendredi de 10h à 13h et de 14h à 17h Jeudi de 10h à 17h Samedi et dimanche de 14h à 18h

Ouverture
mardi | mercredi | jeudi | vendredi | samedi | dimanche

Fermeture exceptionnelle : le vendredi 1 novembre 2019

Description

Le musée Bernard d'Agesci a rassemblé une série de gravures de François Verdier, autour du monde animalier. L’occasion de mettre en valeur la collection d’histoire naturelle et de présenter quelques spécimens en lien avec les oeuvres de l'artiste.

François Verdier est né en 1945 en Dordogne et décédé en 2014 à Niort. On lui doit plus de 1 000 planches gravées au burin et à la pointe-sèche, mais aussi des aquarelles, des dessins et des peintures. C'est une figure emblématique du milieu artistique niortais.

Dès le début des années 70, il se passionne pour la couleur et multiplie les rencontres artistiques enrichissantes qui le sensibilisent à l’importance du dessin. En 1979, il quitte la Dordogne et son métier d’employé de banque pour s’installer à Niort. Il se dirige vers l’estampe et commence à exposer ses oeuvres dans les galeries d’art.

Dès 1982, le muséum d’histoire naturelle de Niort présente ses gravures d’oiseaux. Certaines rejoindront par la suite les collections du musée. En 1983, il est nommé professeur de dessin et de gravure à l’école municipale d’arts plastiques de Niort. S’enchaînent alors expositions, salons, conférences en France et même à l’étranger. Il formera plusieurs générations d’artistes du dessin et de l’estampe.

À la suite d’un voyage en Afrique, il découvre l'intérêt des supports récupérés qu’il travaille avec des outils de fortune. Dans un souci constant de perfection, il retravaille ses plaques de cuivre puis se résout même à les casser pour détourner l’oeuvre originale.

Au sein d’une production qualifiée d’abstraite, François Verdier s’intéresse au monde animalier.

Vernissage le vendredi 4 octobre à 18h.