: Rencontre avec Elizabeth Mazev et François Berreur

Mazev et Berreur viendront présenter leur travail à la Librairie, des Halles à l’occasion de la représentation des Tribulations d’une étrangère d’origine actuellement au Moulin du Roc, pièce d’Elizabeth Mazev adaptée de son livre Mémoire Pleine paru aux é

Lieu
1 bis, rue de l'Hôtel de ville 79000 Niort

FR

Téléphone 05 49 04 05 03  

Informations 05 49 04 03 05

[IMAGE ALT] - Agrandir l'image, fenêtre modale

Le

Description

Mazev et Berreur viendront présenter leur travail à la Librairie, des Halles à l’occasion de la représentation des Tribulations d’une étrangère d’origine actuellement au Moulin du Roc, pièce d’Elizabeth Mazev adaptée de son livre Mémoire Pleine paru aux éditions Les Solitaires intempestifs.

Quelques mots sur la pièce :  
 
« Adaptation scénique de son récit autobiographique Mémoire pleine, Les Tribulations d’une étrangère d’origine d’Elizabeth Mazev racontent l’histoire d’une petite fille née en France de parents réfugiés politiques bulgares. Seule en scène, la comédienne, conteuse hors-paire, rejoue des scènes de sa vie, de ses trois ans et demi à l’âge adulte : la chanson bulgare chorégraphiée par sa mère pour le spectacle de fin d’année, les longs périples estivaux en DS break passés à tourner autour de la Bulgarie sans pouvoir pénétrer « le plus fidèle satellite de l’Union soviétique », le voyage décevant, plus tard, dans un pays qui s’engouffre dans le capitalisme sauvage, où elle cherche à retrouver ce que tous les Bulgares tentent de fuir… C’est drôle, enjoué, plein d’autodérision, ponctué de changements de rythmes et de tons.
Pour ce spectacle, Elizabeth Mazev retrouve François Berreur, dont les spectateurs ont, il y a deux saisons, pu voir Ebauche d’un portrait, son adaptation et mise en scène du Journal de Jean-Luc Lagarce. Un monologue, déjà qui travaillait au plus profond les relations entre l’individu et le souvenir, l’intimité et l’Histoire. Thèmes qui se retrouvent dans ces Tribulations, où, par-delà la peinture intime et familiale, est questionné ce qu’est la mémoire, de quoi elle se compose et comment on l’arrange, « à la manière d’un bouquet ». Et en se moquant de sa propre nostalgie pour un pays qui n’existe que dans la mémoire de ceux qui l’ont quitté. Elizabeth Mazev pose la question de l’identité : d’où est celui qui n’est ni d’ici, ni d’ailleurs ? »                                                      

+ d'infos : Théâtre Contemporain.net

 

Oganisateur